Google va limiter le ciblage publicitaire des applications sur Android : ce qu’il faut savoir

Objectif : proposer des solutions publicitaires sur Android plus respectueuses de la vie privée

Dans le cadre de son projet Privacy Sandbox, Google décide de proposer de nouvelles solutions publicitaires sur Android pour renforcer la confidentialité des données des utilisateurs. Ces nouvelles mesures vont limiter le suivi des applications sur les smartphones Android puisqu’elles « fonctionneront sans identifiants inter-applications, y compris les identifiants publicitaires, et limiteront le partage des données des utilisateurs avec des tiers. » 

Il s’agit de garantir aux utilisateurs que leurs informations sont protégées et de fournir aux entreprises et aux développeurs les outils qui leur permettront de se développer sur les plateformes mobiles.

Google prévoit également de déployer de nouvelles technologies pour éviter que des données soient collectées de manière dissimulée. La firme veut notamment fournir « des moyens plus sûrs d’effectuer l’intégration des applications avec les SDK (kits de développement logiciel) publicitaires. »

Côté timing, Google précise que des aperçus de ces nouvelles mesures seront dévoilés pour les développeurs d’applications dans le courant de l’année. Une version bêta est prévue pour fin 2022. Ces derniers peuvent d’ores et déjà donner leurs feedbacks sur ces propositions via le site pour développeurs Android.

Proposer des solutions publicitaires différentes de celles d’Apple

Ces nouvelles restrictions sur le tracking publicitaire font forcément écho à l’ATT (App Tracking Transparency), mise en place par Apple l’an dernier. Pourtant, Google ne souhaite apparemment pas être comparé à Apple, tout du moins, c’est ce qui semble être sous-entendu dans son blog post officiel : « D’autres plateformes ont choisi une approche différente pour protéger la confidentialité des publicités en ligne, restreignant l’utilisation des outils déjà à disposition des développeurs et des annonceurs. Selon nous, sans alternative respectueuse de la vie privée, ces approches seront inefficaces, voire contre-productives, pour la confidentialité des données et les activités des développeurs. »

Alors que Snapchat semble ouvert au projet de Google, qu’en sera-t-il de Facebook ?

L’an dernier, Snapchat avait fait part de ses craintes quant aux restrictions du tracking publicitaire, imposées, par Apple avec iOS 14.5, estimant qu’elles pouvaient nuire à son activité publicitaire. Mais concernant les nouvelles mesures publicitaires de Google, le réseau social adopte un tout autre point de vue : « Chez Snap, la confidentialité est une priorité qui figure au cœur de la conception de nos produits. Nous sommes ravis de collaborer avec Google pour élaborer de nouvelles normes de protection de la vie privée sur Android. »

Si Snapchat semble adhérer au projet de Google, qu’en sera t-il de Facebook ? Le groupe de Mark Zuckerberg avait fait part de ses inquiétudes concernant l’App Tracking Transparency d’Apple en 2021. Pour rappel, le problème majeur souligné était le suivant : un ciblage publicitaire trop restreint si les annonceurs n’avaient plus accès à l’identifiant publicitaire appelé IDFA (Identifier for Advertisers). Début février 2022, Facebook estimait d’ailleurs une perte de 10 millions de dollars dans ses résultats financiers suite aux mesures prises par Apple. Il est probable que les nouvelles restrictions de Google puissent eux aussi avoir un impact direct sur les campagnes des annonceurs. Affaire à suivre…

Il faudra encore être patient pour connaître les réelles conséquences de ces nouvelles solutions publicitaires. En effet, la Privacy Sandbox sur Android n’en est qu’à ses prémices :  « Nous continuerons donc, au cours des deux prochaines années, à soutenir les capacités actuelles en termes de publicité sur mobile, et nous avertirons les parties prenantes suffisamment à l’avance de tout changement. »

Source : Google

Google My Business devient Google Business Profile : quels sont les changements ?

Google My Business devient Google Business Profile

Dans un post de blog, Google a annoncé des changements pour Google My Business, le service de référencement pour les entreprises. Ainsi, la firme a décidé de le renommer en « Google Business Profile » et souhaite proposer aux entreprises de gérer leur profil directement depuis Search et Maps, sur desktop et sur leurs applications respectives. Google précise également que l’application Google My Business disparaîtra définitivement courant 2022. Google affirme ainsi sa volonté d’améliorer et de faciliter l’expérience des entreprises et la gestion de leur image sur le web.




 

Quels changements pour les entreprises ?

Concrètement, Google précise que dorénavant il sera possible de rechercher simplement le nom de votre entreprise sur Google ou d’accéder à votre profil directement dans l’application Google Maps pour effectuer une vérification, revendiquer un profil d’entreprise ou résoudre d’autres problèmes, comme la suspension du profil. Vous pouvez également rechercher « my business » dans la recherche Google pour accéder à votre profil d’entreprise.

La firme annonce aussi le déploiement prochain d’outils supplémentaires, disponibles exclusivement sur Search et Maps, pour vous aider à comprendre les performances de votre entreprise et vous aider à améliorer votre présence en ligne. De plus, le site web de Google My Business évoluera pour prendre en charge les grandes entreprises possédant plusieurs profils, dans une section appelée « Business Profile Manager ». Les grandes entreprises pourront toujours gérer des profils individuels sur Search et Maps si elles le souhaitent.

D’autre part, Google annonce de nouvelles fonctionnalités, destinées aux petites entreprises, afin d’interagir avec leurs clients depuis leur profil sur Search et Maps. Elles pourront ainsi :

  • envoyer des messages aux clients directement,
  • accéder à des accusés de lecture pour les messages,
  • accéder à l’historique des appels (fonctionnalité lancée aux États-Unis et au Canada, pour le moment).




Ces fonctionnalités devraient être déployées dès ce mois-ci.

Google active la double authentification par défaut : ce qui va changer le 9 novembre

Google impose la double authentification pour tous les comptes

Le déploiement de la double authentification avait été annoncé par Google il y a quelques mois. La firme prévoit de la rendre obligatoire pour tous les comptes Google dès le 9 novembre 2021 et prévient les utilisateurs par le biais d’un email ou d’une notification. L’objectif : améliorer la sécurité des comptes utilisateurs. En effet, la double authentification, aussi appelée validation en deux étapes, permet de mettre en place une confirmation supplémentaire, en plus du mot de passe habituel. La seconde authentification se fait par l’envoi d’un code par SMS, email ou généré sur une application dédiée sur votre smartphone.

La double authentification sera activée automatiquement à partir de la date annoncée par Google. Mais il est d’ores et déjà possible de l’activer manuellement avant échéance.



Comment mettre en place la validation en deux étapes ?

Pour activer vous-même la double authentification :

1- Accédez à votre compte Google depuis la page de gestion, puis sélectionnez Sécurité dans la colonne de gauche.

Accédez à la page de gestion de votre compte Google.

2- Dans la section « Connexion à Google », cliquez sur Validation en deux étapes.

Dans Sécurité, recherchez le paramètre Validation en deux étapes.

3- Une page de contexte vous explique le principe de la double authentification. Cliquez sur Commencer.

Suivez la procédure pour activer le paramètre de Validation en deux étapes.




 

4- Google vous invite à lier votre téléphone, comme support pour la validation en deux étapes. Suivez la procédure pour activer ce paramètre. Une fois votre numéro validé et la double authentification activée, Google vous propose d’autres secondes étapes possibles à configurer.

Chiffres Google : toutes les statistiques à connaître en 2021

Retrouvez les derniers chiffres de Google et YouTube, mis à jour régulièrement.
Tous les chiffres Google : requêtes, parts de marché, résultats financiers…

 

À l’origine, Google n’était qu’un moteur de recherche, sans doute le meilleur au niveau de la pertinence des liens. Il a été créé par Larry Page et Sergey Brin en 1996 pendant leur cursus à l’université de Stanford, aux États-Unis. L’entreprise Google Inc. a officiellement été lancée le 4 septembre 1998.

Depuis, Google est devenu une filiale d’Alphabet et ses services se sont multipliés : gestion des emails avec Gmail, du calendrier avec Agenda, stockage et édition de documents avec Drive… Un nombre incalculable d’outils permettant à Google de figurer parmi les toutes premières entreprises du web.

Nous mettons régulièrement à jour cette page, qui rassemble les principaux chiffres en rapport avec l’entreprise Google, de l’activité sur les services aux utilisateurs actifs en passant par les résultats financiers.

Les chiffres du moteur de recherche Google

Avec 63 % de part de marché, Google continue d’assurer son statut de leader mondial des moteurs de recherche en 2020, loin devant Safari.

Part de marché de Google

Les statistiques des parts de marché de Google dans le monde, en Europe et en France, selon StatCounter (janvier 2021) :

  • Monde : 63,63 % – Safari à 19,37 %, Firefox à 3,65 %
  • Europe : 60,42 % – Safari à 19,86 %, Firefox à 6,18 %
  • France : 57,34 % – Safari à 21,41 %, Firefox à 8,56 %

Les statistiques des parts de marché de Google dans le monde, selon W3Counter (janvier 2021) :

  • Chrome : 65,3 %
  • Safari : 17 %
  • IE et Edge : 5,6 %
  • Firefox : 4,1 %
  • Opera : 1,5 %

Requêtes sur Google

  • 130 000 milliards de pages sont indexées par Google.
  • 20 milliards de sites sont visitées (crawlées) par Google, chaque jour.
  • 80 000 requêtes chaque seconde, soit 6,9 milliards par jour.
  • 15 % des requêtes sont de nouvelles requêtes (500 millions par jour) !
  • Plus de 110 millions de Go de données sont stockées sur les serveurs de Google
  • Plus de 90 % du trafic des recherches en France provient de Google (février 2019)

Sources : Google / Statista Internet Live Stats / Search Engine Land / Business Insider

Résultats financiers de Google

Alphabet, la maison-mère de Google, a publié ses résultats financiers pour le 4e trimestre 2020. Découvrez le chiffre d’affaires trimestriel et annuel de la firme de Mountain View :

  • Chiffre d’affaires trimestriel (Q4 2020) : 56,89 milliards de dollars
  • Bénéfice trimestriel (Q4 2020) : 15,22 milliards de dollars
  • Chiffre d’affaires annuel (2020) : 182,52 milliards de dollars
  • Bénéfice annuel (2019) : 40,26 milliards de dollars

Source : Résultats trimestriels d’Alphabet

Autres statistiques de Google

Retrouvez d’autres statistiques et fun facts à propos de Google :

  • À ses débuts, Google pouvait afficher entre 30 et 50 pages par secondes.  Aujourd’hui, le nombre s’élève à plusieurs millions par secondes.
  • Son nom est une référence au terme mathématique « gogol » ou « googol », qui désigne le nombre s’écrivant avec le chiffre 1 suivi de 100 zéros.
  • Google estime la valeur de son entreprise à 400 milliards de dollars.
  • Jusqu’en mars 2011, la homepage de Google était alignée sur le côté au lieu d’être centrée.
  • Google emploie plus de 90 000 personnes dans le monde. Ses employés sont des « Googlers », les nouveaux arrivants sont surnommés des « Nooglers ».

Le premier tweet de Google, partagé le 26 février 2009, est la traduction de « Je me sens chanceux » en langage binaire :

 

Sources : WhoIsHostingThis? / Statista 

Les chiffres de YouTube

YouTube est la plateforme d’hébergement de vidéos en ligne de Google. Créé en 2005 par 3 anciens employés de Paypal, le service a été racheté par la firme de Mountain View en 2006 pour 1,65 milliard de dollars. « Me at the Zoo » est la première vidéo postée sur YouTube le 23 avril 2005 par son co-fondateur Jawed Karim.

youtube

Utilisateurs actifs mensuels et vidéos vues sur YouTube

  • Nombre d’utilisateurs actifs par mois (MAU) : 2,291 milliards
  • Plus de 88 000 vidéos sont vues en une seconde sur YouTube
  • Plus d’1 milliard d’heures de vidéos visionnées par jour sur YouTube
  • Plusieurs milliards de vues par jour, selon YouTube
  • Plus de 70 % des vidéos YouTube sont vues sur mobile
  • 37 % du trafic mondial sur mobile se fait sur YouTube, devant Facebook (8,4 %) et Snapchat (8,3 %)
  • 6,88 milliards de dollars de revenus publicitaires en 2020 (plus de 15 milliards en 2019)

Nombre de vidéos ajoutées sur YouTube

  • 720 000 heures de vidéos sont ajoutées sur YouTube par jour
  • 500 heures de vidéos chaque minute
  • 30 000 heures de vidéos chaque heure

Il faudrait 82 ans pour visionner le nombre de vidéos ajoutées sur YouTube en une heure.

Les chiffres de YouTube en France

  • 49,6 millions de visiteurs uniques par mois en France
  • 360 chaînes YouTube de plus d’un million d’abonnés en France (+45 % vs 2019)
  • 76 millions de vidéos musicales visionnées chaque jour en France
  • 75 % du top 100 des musiques les plus écoutées en France viennent d’artistes français
  • 16 millions de Français âgés de 18 ans et plus regardent des vidéos sur YouTube chaque jour (31 % de couverture)
  • 23 minutes de temps passé en moyenne chaque jour pour les 18-24 ans (50 minutes pour les 18-34 ans)

Sources : YouTube / Think with Google / Oberlo / Brandwatch / Internet Live Stats / chiffres Médiamétrie

 

Les chiffres des autres services de Google

  • Android : 2,5 milliards de terminaux actifs équipés en 2019, 82 % de part de marché en France

 

  • Google Play : 2,9 millions d’applications sont disponibles au téléchargement sur le Play Store en 2019
  • Gmail : 1,5 milliard d’utilisateurs en 2019
  • Google Maps : plus de 200 pays cartographiés, dont 87 avec Street View, plus de 25 millions de mises à jour quotidiennes de plus de 1 000 sources et 1 milliard d’utilisateurs actifs par mois (source : Google)
  • Google Chrome : plus de 5 milliards de téléchargements
  • Google Analytics : plus de 29 milliards de sites trackés
  • Google Wallet : 39 millions d’utilisateurs en 2018, 100 millions en 2020 (selon une estimation) soit autant que Samsung Pay (Source : Statista)
  • Google Drive : le milliard d’utilisateur a été atteint en 2018.

Référencement des images : les 12 conseils SEO de Google

John Mueller, Webmaster trends analyst chez Google donne des conseils pour améliorer le référencement des images sur le moteur de recherche.

1. Donner du contexte à vos images

Premier conseil : veillez à ce que les images utilisées soient pertinentes avec le sujet abordé sur la page web. Google suggère d’utiliser les visuels là où ils apportent le plus de valeur à la page. Il est également important d’ajouter des titres et sous-titres qui apportent le contexte et guident l’internaute. John Mueller conseille de se mettre à la place de l’utilisateur afin de comprendre quels mots et phrases seraient utilisés pour décrire le contenu de l’image, puis de vérifier que ces mots correspondent à ceux inscrits sur la page en question.

2. Optimiser le placement des images

Lorsque c’est possible, il est important de placer l’image et sa légende à côté du texte concerné. Afin d’optimiser le placement des images, incorporez l’image la plus importante au plus près du haut de la page concernée.

3. Écrire le texte plutôt que l’inscrire au sein d’une image

Si Google maîtrise l’analyse d’un contenu texte, c’est en revanche plus complexe de décrypter le contenu texte inscrit dans une image (via un montage photo qui couplerait photo et texte par exemple). En effet, le contenu inscrit au sein d’un visuel n’est lisible ni par les moteurs de recherche, ni par certains internautes, qui auraient par exemple besoin d’un outil de traduction. Veillez donc à écrire votre contenu directement au sein de la page plutôt que sur un visuel afin d’améliorer l’accessibilité de votre site.

4. Utiliser des balises ALT

Google suggère d’utiliser des balises ALT qui permettent de donner des informations via une description textuelle d’une image. Cette fonctionnalité permet de mieux référencer le visuel en question et d’être plus accessible pour les internautes qui effectuent une recherche.

5. Utiliser des images de bonne qualité

Les images représentent un critère de qualité important pour le visiteur d’un site. Pensez à utiliser des images nettes qui attireront davantage l’œil. Vous proposerez également des previews plus esthétiques, qui seront susceptibles d’inciter au clic.

6. Créer un site de haute qualité au contenu riche

Une page web se doit de répondre aux besoins et attentes de ses visiteurs. Pour Google Images, le contenu du site est tout aussi important que le contenu visuel. Avec un contenu de qualité, le moteur de recherche sera en mesure d’apporter plus de contexte à vos visuels. De plus, le contenu présent sur la page peut être utilisé pour générer un extrait de texte pour l’image. Enfin, Google tient compte de la qualité d’une page et de son contenu quand il classe les images, d’où l’importance de travailler la qualité de l’ensemble des contenus.

7. Créer des sites mobile et desktop-friendly

Les internautes accèdent davantage à la recherche Google Images à l’aide du téléphone que via l’ordinateur, c’est pourquoi proposer un site responsive et efficace sur tous supports est important. Pour améliorer le responsive de son site, vous pouvez vous aider d’outils de tests mobile-friendly pour voir si les pages sont efficaces sur mobile.

8. Utiliser une URL structurée pour vos fichiers visuels

Tout comme l’URL d’une page, une URL d’image se doit également d’être structurée et compréhensible. Il faut éviter d’inclure des chiffres et mots sans sens, car Google utilise le chemin de l’URL, au même titre que le nom du document, pour comprendre l’image. Le conseil de John Mueller : structure vos noms d’URL puis éviter de les changer. Si vous souhaitez effectuer un changement, utilisez une redirection 301. Vérifiez également que vos fichiers visuels ne sont pas bloqués par le protocole d’exclusion robots.txt si vous souhaitez les utiliser comme preview sur Google.

9. Fournir des données structurées pertinentes

Les données structurées permettent au moteur de recherche de mieux comprendre ce que contient une page. Il existe plusieurs formats de données structurées, c’est pourquoi il faut s’assurer de fournir les plus pertinentes.

10. Utiliser de grandes images en preview

Ajouter de grandes images de qualité va vous permettre de maximiser les chances de  générer plus de trafic depuis Discover. En revanche, il faut que ces images aient une taille appropriée, avec l’utilisation du robot méta tag max-image-preview:large ou bien l’usage d’Accelerated Mobile Pages (AMP).

11. Ajouter des informations sur la licence des images

L’ajout d’infos concernant la licence et le crédit des images permet d’aider les internautes à comprendre où trouver la licence photo facilement et rapidement. L’ajout de ces informations peut être effectué via des données structurées au sein de la page ou bien des métadonnées dans l’image directement.

12. Optimiser ses performances

Google insiste sur la rapidité des sites web, car c’est un atout clé pour capter du trafic et améliorer l’expérience de l’utilisateur. Les images représentent souvent une partie conséquente du poids total d’une page. C’est pourquoi Google propose quelques recommandations lors de l’utilisation d’images : optimiser la taille des fichiers d’image, utiliser des techniques de lazy-loading et proposer des images responsive. Pour certains sites web, l’utilisation du format AMP permet également d’améliorer le temps de chargement d’une page.

Google annonce la fermeture de Google+

Google vient d’annoncer la fermeture de Google+. Certains le regretteront, d’autres seront surpris d’apprendre que Google+ existait encore en 2018. Pendant 7 ans, Google aura tenté, tant bien que mal, de développer son réseau social. La firme de Mountain View reconnaît son échec en annonçant la fin de Google+.

Comment Google a tué Google+

Bien que la fermeture de Google+ ne soit pas une surprise sur le fond, la forme choisie par Google pour l’annoncer est étonnante. Le géant du search explique, dans un billet de blog long et technique, les premiers résultats de Project Strobe, une initiative lancée au début de l’année en interne.

Objectif : faire un état des lieux des accès aux données personnelles accordées par les utilisateurs aux concepteurs d’applications, vérifier que la confidentialité pouvait être assurée et repérer les cas où des personnes n’utilisent pas une application en raison des craintes sur la confidentialité.

Google+ est la première victime de Project Strobe

Comme l’explique Google, cette étude fondamentale a permis de mettre en avant « les nombreux défis » à relever lorsqu’on souhaite « créer et maintenir un produit Google+ performant qui répond aux attentes des internautes ». Concrètement, Google ferme Google+ car il serait trop coûteux de maintenir un tel service… surtout lorsqu’on regarde l’usage du réseau social. Précision : seule la version grand public est concerné, les professionnels pourront toujours utiliser Google+ via G Suite.

90 % des sessions duraient moins de 5 secondes

Le chiffre avancé par Google n’est pas étonnant, mais il est éloquent : sur Google+, 90 % des sessions duraient moins de 5 secondes. Preuve, s’il en fallait, que le « nombre d’utilisateurs actifs d’un réseau social » ne permet pas de se représenter l’engagement réel des internautes avec un service. Dans ce cas présent, Google+ était dans un état de végétation avancé depuis de longues années, hormis pour une poignée d’irréductibles fans de la première heure.

Pourquoi Google ferme Google+

Google a tout simplement pesé le pour et le contre du maintien de Google+. Côté « pour », cette poignée d’utilisateurs actifs. Côté « contre », des risques pour la sécurité des données personnelles liées à la construction-même du réseau social. Google a voulu faire de Google+ une plateforme ouverte aux développeurs, qui pouvaient concevoir des outils tiers basées sur les données des internautes – à condition que ceux-ci leur accordent les droits nécessaires.

Cette propriété de Google+ fait que les risques inhérents à l’usage des données des utilisateurs étaient trop grands. Cela rappelle un peu l’affaire Cambridge Analytica : des personnes ont transmis leurs données personnelles à une entreprise, via un tiers (Facebook). L’entreprise qui a récolté ces données les a utilisées à des fins non annoncées. Cette affaire aurait très bien pu éclore sur Google+ si les utilisateurs avaient été au rendez-vous.

Une faille repérée dans une API Google+

Outre cette propriété du réseau social et les risques associés, Google précise que son audit a permis de repérer une faille dé sécurité dans une API Google+. Les utilisateurs pouvaient donner accès à leurs données publiques aux applications tierces. Ces applications ont pu accéder à des données non-publiques intégrées au profil – sans doute à la suite d’une évolution du code de Google+.

Les données sont limitées (il s’agit du nom, de l’email, de l’entreprise, du genre, de l’âge…) mais Google n’est pas en mesure de savoir si la faille a été exploitée ou non par des applications mal intentionnées. Aucun log n’est conservé au-delà de 2 semaines, ce qui limite de facto l’enquête interne de Google. Le bug a été corrigé en mars 2018 et Google estime que 500 000 personnes sont potentiellement concernées (via 438 applications qui utilisaient cette API).

Google+ va fermer en août 2019

Cette faille aura été le dernier clou sur le cercueil de Google+. Le réseau social fermera ses portes en août 2019 et les utilisateurs seront accompagnés, d’ici là, pour récupérer leurs données. Google+ rejoint le cercle (!) de plus en plus ouvert des échecs de Google et des services fermés par la firme de Mountain View.

Google AdWords change de nom et devient Google Ads

Terminé Google AdWords, désormais elle répondra au nom de Google Ads. Quels changements sont à attendre sur la plateforme et quels impacts dans la gestion au quotidien pour les annonceurs ? Les réponses ci-dessous.

Quels changements pour Google Ads ?

Sur le papier, Google Ads n’est finalement qu’un changement de nom et de logo, même si Google AdWords propose déjà depuis 2017 une nouvelle interface, plus fluide et proposant de nombreuses nouvelles fonctionnalités. Cette dernière sera généralisée pour tous les annonceurs en 2018, en dépit de l’interface traditionnelle qui disparaîtra complètement. Google Ads vient rassembler la diffusion des publicités sur le réseau de recherche Google + partenaires, le Google Display Network (GDN) et évidemment YouTube.

Quels impacts sur l’utilisation de la plate-forme au quotidien ?

Au-delà de l’interface, tous les supports seront mis à jour, comme le centre d’aide, ainsi que les documents de facturation. Google Ads mettra notamment à la disposition des annonceurs à budgets restreints, un nouveau type de campagne plus facile à mettre en place.

L’URL d’accès à votre compte AdWords passera de adwords.google.com à ads.google.com. L’adresse du centre d’aide (support.google.com/adwords), sera également remplacée par : support.google.com/google-ads.

Bien entendu, tout cela n’aura pas d’impact sur les performances de vos campagnes ou la navigation, ni même sur la création de rapports.

Pour en savoir plus sur ce changement, et notamment la ré-organisation des produits DoubleClick Digital Marketing et Google Analytics 360, consultez nous.

Les annonces Google Adwords, c’est quoi ?

En créant votre site internet, vous n’avez pas manqué de remarquer à quel point il est essentiel d’essayer, autant que possible, de se démarquer de la concurrence. À l’heure où de nombreux sites internet voient le jour au fil des jours, il est essentiel de s’assurer d’être visible,  se démarquer des concurrents.

À la manière de la publicité classique, il est donc possible de faire de la publicité sur Internet, pour atteindre de nouveaux prospects, avec les annonces Google Adwords, notamment !

 

Retour sur les annonces Google Adwords, la publicité sur Internet signée Google !

 

                        Google AdWords, une campagne publicitaire, des mots clés !

 

Pour répondre aux besoins des entrepreneurs notamment, Google a mis au point son propre programme de publicité sur Internet : Google Adwords.

À l’inverse d’une publicité quelque peu aléatoire, Google Adwords permet d’être visible, sur les publications sponsorisées, pour des mots clés précis. Les internautes recherchant des informations, des produits en rapport avec votre activité découvrent alors directement votre site internet, par le biais de l’annonce Adwords.

 

Reposant sur le principe des enchères sur les mots clés, le système Google Adwords se veut aujourd’hui être particulièrement performant, pour atteindre des taux de clics appréciables. Mise en place en toute simplicité et de manière très rapide, la publicité par Google permet des retombées positives réelles, pour toutes personnes qui prendraient bien le temps de cibler sa campagne Adwords !

 

S’appliquant aussi bien aux grandes entreprises, qu’aux start-ups ou encore tous autres sites souhaitant se développer, les campagnes de publicité Google s’adaptent à votre budget.

Quand on sait que plus de 30% des internautes cliquent sur les annonces sponsorisées, on comprend l’importance de se montrer sur Internet, d’être visible sur les bons mots clés, grâce à Google Adwords et les bénéfices que le système permet d’entrevoir !

Qu’y a-t-il eu de génial en vidéos en 2017 ?

Le mobile reste prédominant : les utilisateurs passent actuellement plus d’une heure par jour à regarder des vidéos sur leurs mobiles. Alors, quelles ont été les annonces YouTube les plus populaires en 2017? Vous trouverez dans Think With Google le classement belge des annonces YouTube. Jetez-y un œil ICI et découvrez le palmarès 2017.

Les sites en HTTP seront labellisés « Non-sécurisé » dès juillet 2018

Depuis plusieurs années, Google incite les webmasters à sécuriser leurs sites Internet, pour que les utilisateurs puissent naviguer sur le web en toute sécurité. L’un des moyens de pression de Google est d’identifier les sites non-sécurisés sur son navigateur, Google Chrome, aujourd’hui leader sur son marché. Google y est allé étape par étape. Depuis janvier 2017, les pages qui permettent la saisie et le traitement de données sensibles (champ mot de passe, carte de crédit…) sont clairement labellisées « Non-sécurisé » sur Google Chrome si elles ne sont pas en HTTPS. Google va renforcer son initiative en affichant ainsi l’ensemble des sites en HTTP, à partir de Google Chrome 68 (dont la sortie est prévue début juillet)

Auparavant, lorsque le protocole sécurisé HTTPS était l’exception, les sites web sécurisés étaient identifiés dans la barre d’adresse des navigateurs. Petit-à-petit, Google Chrome adopte la démarche inverse : le HTTPS devient la norme, c’est donc le caractère non-sécurisé des sites en HTTP qui est affiché. Le label est relativement discret mais le signal renvoyé à l’utilisateur est négatif. Si votre site n’est pas sécurisé, il est donc conseillé de commencer le chantier HTTPS, parfois complexe, au plus vite.

Google indique que la majorité des sites web ne seront pas concernés, car beaucoup sont passés au HTTPS – mais il reste tout de même beaucoup de travail :

  • 68% du trafic issu d’un terminal sous Android ou Windows est sécurisé
  • 78% du trafic issu d’un terminal sous iOS ou Chrome OS est sécurisé
  • 81 des 100 sites les plus consultés sont en HTTPS.

Votre site Internet n’est pas encore sécurisé HTTPS ? Contactez notre agence web pour plus d’informations !

source Google : https://security.googleblog.com/2018/02/a-secure-web-is-here-to-stay.html